Le dernier salon national de l'immobilier s'est déroulé du 11 au 14 avril 2013 au centre des expositions de la porte de Versailles à Paris.
Je n'ai pas été exposant à ce salon du fait que la situation est instable sur le plan économique
Acheter un logement est un des actes importants de la vie compte tenu du montant des sommes en jeu.
A moins d'y être contraint, acheter ou vendre dans l'immobilier représente un risque non quantifiable.
L'immobilier aime les tendances franches.
Quand on écoute les intervenants sur la tendance du marché immobilier sur Paris et sur l'Ile-de-France, la tendance est à la baisse avec des exceptions (rares) à la hausse.
Les taux d'intérêt des prêts bancaires sont historiquement au plus bas depuis la dernière guerre mondiale.
Les volumes de vente s'effondrent.
Les prix, eux, décroissent mais légèrement.
Dans cette cacophonie ambiante, difficile de se faire une idée de la tendance lourde à un an.
Un autre problème se pose aux vendeurs immobiliers qui se retrouvent avec des liquidités : en faire quoi?
La tension sur les prix reste forte du fait de la diminution drastique des mises en chantier de logements neufs.
Il est en revanche prévisible de voir cette année placée sous le signe de la morosité.
Rendez-vous dans trois mois pour avoir le résultat des courses.