Comme mentionné dans mon précédent article un peu technique, les prévisions sont difficiles à exprimer avec un taux de certitude élevé.
Néanmoins, il est facile de prendre en compte des facteurs sociétaux actuels tels que l'insécurité, la peur de l'autre, l'hyper communication qui conduit à mal commniquer et à se replier sur soi-même.
Le climat étant tendu et l'avenir incertain, quels sont les choix?
Le retour aux besoins fondamentaux : avoir un toit de préference à soi, éviter de dépendre d'autrui une fois l'âge de la retraite arrivé, vivre chaque jour avec joie (dêtre en vie et en bonne santé) et être dans une démarche active pour ne pas subir l'environnement et la pression au quotidien.
Dans ce contexte, qu'est-ce qui justifierait une baisse des prix?
En fait, rien car l'offre est inférieure à la demande du fait même de la cherté de l'immobilier.
Vendre pour acheter quoi? Et à quel prix?
L'équation est donc : je vends mon bien avec une belle plus-value nette d'impôt s'agissant de la résidence principale mais j'achète sur un marché très cher.
Soit j'achète plus petit et je réinvestis le produit de ma vente sans trop me soucier du prix en fait, soit j'achète plus grand et là je suis contraint d'emprunter pour la différence entre le produit de ma vente et le prix d'achat du nouveau bien.
Pour les secundo accédants, le marché reste accessible.
Pour les primo accédants, il n'en est pas de même.
L'aide des parents est souvent déterminante pour permettre l'acquisition.
Quant à ceux qui ne sont pas aidés, reste à acheter plus loin des centres urbains.
Force est de constater que les prix ne sont pas prêts de baisser.